Une simple journée comme les autres à Poudlard. Milieu de l’après-midi, simplement assise derrière mon bureau, j’attends que l’ont me pose une question ou que l’ont requière mon aide. Mais pour le moment, tous semble calme. Il y a peut de monde entre les étales de livres ou sur les grande table. Je relisais le papiers que j’avais sous les yeux, une commande de bouquins, classique pour une bibliothécaire vous direz-vous, et c’était bien vrai. Je poussais un soupir, regardant à nouveau la liste que m’avait donné un professeur. Vérifiant à nouveau le nombre d’exemplaire à commander, je fini par signer le bordereau, glisser le tout dans une enveloppe et siffler doucement pour appeler le hiboux affréter au bibliothécaire. Une fois cela fait, je n’eu plus qu’à envoyer un petit mot ensorceler au professeur passeur de commande. Ensuite, je me levais, décidant de faire un petit tour dans les étales de livres, voir si tout allait, peut-être un élève avait-il besoin d’un coup de main pour un devoir. J’en profiterai aussi pour remettre en rayon les livres revenu dans la journée.

Silence. Beaucoup trop de silence. J’en venais même à me demander s’il y avait vraiment du monde entre ses étales. Pourtant, il était bien là ses petites étudiants, petits.. ou pas, le grand là bas, dans le coin, côté arithmancie, me dépassait bien de deux bonnes têtes. Un Serdaigle soucieux de ses résultats scolaire au vu de sa lecture du moment. Au vu de l’épaisseur et la taille du bouquin, nul doute qu’il était plonger dans 1 à 9. Plus classique comme titre, tu meurt, mais bien pratique quand même, sans doute l’une des références en la matière, son auteur était sans doute mort depuis plusieurs siècles, son nom connu que de ceux qui si intéressait, mais son oeuvre elle, toujours dans les esprits. Je ne pus m’empêcher de sourire quand je vis se garçon prendre sa plume et noter quelques choses sur son parchemin, nul doute qu’il avait trouvé ce qu’il cherchait. Je me rappelais ce sentiment, je l’avais ressentit de nombreuses fois pendant mes études, dans ce même endroit. Des heures et des heures de recherches, s’arracher les cheveux, et enfin trouver ce que l’ont cherche. Pousser un grand soupir de soulagement, retenir se cri de victoire et enfin coucher le tout sur le parchemin, rendre son devoir à temps et avoir une bonne note. Le bonheur de l’étudiant soucieux de ses études. Rahh… il était bien loin ce temps.

- Excuser moi, j’ai un mot d’un professeur pour avoir accès à un livre de la réserve.

J’arquais un sourcils, me retournant vers la jeune fille. Quinze ans à vue d’oeil, cinquième année donc. L’accès à la réserve était souvent plus attribué aux élèves en études supérieur. J’haussais les épaules, prenant le mot et hochant la tête, rien de bien méchant, divination.

- Je vais te chercher ça.  

Je lui souris gentiment, puis la contournais pour rejoindre la réserve. Je préférais cet endroit presque plus que la bibliothèque elle même. C’était plus frai, plus sombre aussi, mais plus sympas finalement, un côté mystérieux, des livres interdits, regorgeant de secrets…tout pour moi maintenant. Je ris de ma propre bêtise, j’aurais donné tellement cher à l’époque pour pouvoir avoir ne serais-ce que cinq minutes dans ces lieux, et aujourd’hui, j’en avais la clés. La vie était pleine de surprise.

J’attrapais le bouquin demander, rejoignant ensuite la bibliothèque en prenant bien soin de refermer à clés derrière moi, rejoignant la jeune fille de chez Gryffondor. Je lui donnait le livre, avec un petit mot d’autorisation de circulation, lui donnant la date butoir pour le rendre, puis elle parti. Et je me retrouvais à devoir ranger mes livres. Laissant le temps filer, sans chercher à le faire avancer plus vite ou le ralentir, j’aimais ça finalement. C’était tranquille, sans pression, et à cette heure, personne ne rompais mon calme délicat.

Soudain, j’entendis la grande porte s’ouvrir, et une multitude de voix, un cours devait venir de se terminer, et un prof avait sans doute donné un devoir. Il faisait trop de bruit à mon goût pour cet espace. Je sortais de ma cachette pour les rejoindre. Mais je stoppais mon mouvement lorsque je perçu ses longs cheveux brun et son sourire alors qu’elle parlait à une l’une de ses condisciples.

- Ruby,  murmurais-je pour moi même. Je secouais la tête, me reprenant rapidement pour enfin les rejoindre et leur intimer le silence. Il y avait des réglées à suivre ici, soeur caché ou pas, je ne laisserais pas ses jeunes gens troublé le calme de ce lieu :

- Si vous pouviez faire moins de bruit, ce serait parfait. En attendant, puis-je vous aider ?